Les liens de cette page présentent quatre (longs) articles de type scientifique sur les effets de la (sous)-respiration sur les principaux organes du corps humain.
Il y est question d’une respiration de survie, typique du stress et d’une respiration de longue vie, naractéristique de la détente physique et du bien-être mental.
Trois éléments se dégagent de la lecture de ces articles.
1° La manière dont nous respirons chaque instant se révèle être un facteur essentiel à notre santé tant physique que mentale.
2° Alors que la multiplication des sources de stress dans nos sociétés affecte d’une manière négative notre respiration, les chercheurs, médecins et thérapeutes délaissent encore largement cette fonction de notre corps vivant.
3° Selon les individus, les stress vont causer une sous-respiration ou une hyperventilation.
4° Les conséquences logiques de la sous-respiration ou de l’hyperventilation chroniques ou sur la flore intestinale réclament une attention d’urgence dans la prévention et le traitement de toutes les maladies liées à une perturbation de notre immunité, à savoir : les allergies, les maladies auto-immunes et les cancers.
5° L’augmentation de la concertation en ammonium dans le sang causée par la sous-respiration chronique réclame également une attention particulière. Ce facteur constitue au minimum un élément aggravant de nombreux troubles neurologiques, à commencer par les maladies neuro-dégénératives telles que Parkinson et Alzheimer.
Le grec Hippocrate (460-370 av. J.-C.), ancêtre de la médecine moderne, déclarait : « Toute maladie commence dans les intestins ».
Je suis personnellement convaincu que toute maladie commence, ou du moins est amplifiée, par la sous respiration. Il en est de même dans le cas d’une hyperventilation chronique.